samedi 31 mars 2018

samedi 24 mars 2018

vendredi 23 mars 2018

mercredi 21 mars 2018

mardi 20 mars 2018

dimanche 18 mars 2018

La Clémence de Napoléon envers la princesse de Haztfeld


Ecole française de la première moitié du XIXe siècle - La Clémence de Napoléon envers la princesse de Haztfeld (1806)
Huile sur toile 44 x 59,8 cm (petite pièce de renfort en haut à gauche)

Précédemment attribué au Baron Antoine Jean GROS (1771- 1835). La scène nous est connue notamment par une lettre de l’'Empereur à Joséphine (6 novembre 1806) qui lui rapporte avec précision l’'évènement. La princesse de Haztfeld, enceinte de huit mois, apprenant la condamnation à mort de son époux, le gouverneur de Berlin, pour espionnage militaire, se précipita pour solliciter sa grâce, mais elle manquât de s’'évanouir en reconnaissant la lettre de trahison que lui remit Napoléon écrite de la main même du prince. Emu par ses larmes et son aveu naïf l’'empereur lui demande de jeter la lettre dans le feu de la cheminée, afin qu’'il ne puisse plus poursuivre son mari. Le moment choisi par le peintre est celui où la princesse de Haztfeld au bord de l’'évanouissement, tenant la lettre de son époux, est soutenue par les dignitaires qui lui avaient apporté leur soutien, Duroc, Ségur et Rapp, dans le cabinet de l’Empereur.

Le thème a été traité par différents artistes de l’'Empire et de la Restauration, à l’'exemple de Charles Boulanger de Boisfremont (1773 - 1838). Lors du Salon de 1808 trois peintre donnèrent leur version de l’'évènement : Louis Lafitte (n° 358), Pierre – Auguste Vafflard (n° 587) et Marguerite Gérard dont la toile est conservée au musée des Châteaux de La Malmaison et de Bois – Préau. Le musée Carnavalet possède une gravure anonyme en couleurs, Magnanimité de l’'Empereur des Français envers Mme La Princesse d’Hatzfeld, vraisemblablement diffusée à fin de propagande impériale.

jeudi 15 mars 2018

Albert de Belleroche - Femme debout derrière la porte dans son intérieur


Albert de Belleroche (Royaume Uni, 1864-1944)

Johann Jacob SPERLY l’'Ancien - Loggia au bord du lac


Johann Jacob SPERLY der Ältere (1794 - 1841) - Loggia au bord du lac avec des personnes abordant au bas des marches (Aquarelle, signée en bas à droite 20 x 27 cm)

mardi 13 mars 2018

Évasion des marins français du ponton espagnol Castilla Vieja


Ecole espagnole XIXème - L'évasion des marins français du ponton espagnol Castilla Vieja dans la baie de Cadix, le 15 mai 1810

lundi 12 mars 2018

Marcel Gotene - Bestiaire 1



Marcel Gotene (Congo, 1939-2013)

André Henri DARGELAS - La Lettre


André Henri DARGELAS (1828-1906) "La Lettre" huile sur panneau signé et daté 99

Robert BROUSSOLE - Art naïf 1

Robert BROUSSOLE - Le Presbytère et son curé

Robert BROUSSOLE - Le laboureur à la pause 
Robert BROUSSOLE - Village sous la neige

dimanche 11 mars 2018

Pierre Bonnard - La loge - 1908


Pierre Bonnard (France, 1867-1947)

Jean Béraud - Les trottins de la Belle Époque 1

Jean Béraud - Vent fripon sur les quais de Paris

Jean Béraud - Modiste sur les Champs-Élysées

Jean Béraud - Modiste sur le pont des Arts

Jean Béraud (France, 1848-1935)

Pierre Alexandre WILLE - La fête de bonnes gens ou la récompense de la Sagesse et de la Vertu


Pierre Alexandre WILLE (Paris, 1748-1837) La fête de bonnes gens ou la récompense de la Sagesse et de la Vertu (1776)

Théodore Jacques Ralli - Femme turque fumant dans son jardin - 1887


Théodore Jacques Ralli (Theodoros Rallis, Grèce, 1852-1909)  - Femme turque fumant dans son jardin - 1887

samedi 10 mars 2018

Louis Legrand - L'entrée au bal masqué


Louis Legrand (France, 1863-1951) Esquisse pour l'entrée au bal masqué

Delphin ENJOLRAS. Le reflet dans le miroir


Delphin ENJOLRAS ( 1857 - 1945) Le reflet dans le miroir. Pastel 

NICOLAS POLIAKOFF - Femme assise


NICOLAS POLIAKOFF (France, 1899-1976), Femme assise

Charley GARRY - Arlequin, Pierrot et une danseuse


Charley GARRY (France, 1891-1973) - Arlequin, Pierrot et une danseuse

Portrait de la duchesse de Berry


Ecole française XVIIIème - Portait de la duchesse de Berry 90 x 70 cm.


C’est à Boris Lossky que l’on doit l’identification, en 1962, de ce portrait représentant Louise-Françoise de Bourbon, dite Mademoiselle de Nantes, fille légitimée de Louis XIV et de Madame de Montespan. Les premiers inventaires du musée, puis les catalogues notent, de manière erronée, qu’il s’agit du portrait de Madame de Vermandois et les très nombreuses versions connues de ce portrait mentionnent le plus souvent le nom de la duchesse de Berry, l ‘une des filles du Régent. Boris Lossky dans un article publié en 1963 a longuement détaillé les raisons de cette confusion . Si Boris Lossky pense, avec juste raison, reconnaître dans ce tableau, qu’il classe cependant en anonyme, le style de Pierre Gobert, il est délicat parmi les nombreuses répliques qui existent de préciser la localisation exacte du tableau original. Certes les versions connues aujourd’hui sont de qualité diverses ; celle conservée au musée Condé à Chantilly est ainsi d’une touche infiniment plus délicate que celle de Tours, il faut d’ailleurs souligner que le tableau de Chantilly est le seul qui présente une très légère variante, montrant la princesse ne tenant pas de mouchoir entre ses mains croisées. Mais il faudrait pour avoir une idée tout à fait juste pouvoir confronter directement toutes ces versions qui sont toutes de dimensions quasi identiques, et ne sont pas signées. Au salon de 1737 figure un tableau de Gobert, dans lequel on peut reconnaître une version de ce portrait : Portrait en petit de S.A.S. Mme la Duchesse mère en habit de veuve par M. Gobert, Conseiller de l’Académie, s’agit-il d’une esquisse pour l’original ?.                             

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